Les Quarante-cinq. Tome II

Alexandre Dumas

LES QUARANTE-CINQ

Tome II

(1847 – 1848)

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Table des matières

DEUXIÈME PARTIE

XXXII Messieurs les bourgeois de Paris .................................. 6

XXXIII Frère Borromée .......................................................... 19

XXXIV Chicot latiniste ...........................................................30

XXXV Les quatre vents ........................................................... 38

XXVI Comment Chicot continua son voyage et ce qui lui

arriva ....................................................................................... 49

XXXVII Troisième journée de voyage .................................... 59

XXXVIII Ernauton de Carmainges ........................................68

XXXIX La cour aux chevaux .................................................. 80

XL Les sept péchés de Madeleine ........................................... 93

XLI Bel-Esbat ........................................................................ 105

XLII La lettre de M. de Mayenne ........................................... 119

XLIII Comment Dom Modeste Gorenflot bénit le roi à son

passage devant le prieuré des jacobins ................................. 130

XLIV Comment Chicot bénit le roi Louis XI d’avoir inventé

la poste, et résolut de profiter de cette invention ................. 144

XLV Comment le roi de Navarre devina que Turennius

voulait dire Turenne et Margota Margot. ............................ 156

XLVI L’allée des trois mille pas ............................................ 167

XLVII Le cabinet de Marguerite ........................................... 175

XLVIII Composition en version ........................................... 185

XLIX L’ambassadeur d’Espagne .......................................... 196

L Les pauvres du roi de Navarre .......................................... 206

LI La vraie maîtresse du roi de Navarre ............................... 221

LII De l’étonnement qu’éprouva Chicot d’être si populaire

dans la ville de Nérac ............................................................ 233

LIII Le grand veneur du roi de Navarre ............................... 252

LIV Comment on chassait le loup en Navarre ...................... 261

LV Comment le roi Henri de Navarre se comporta la

première fois qu’il vit le feu .................................................. 274

LVI Ce qui se passait au Louvre vers le même temps à peu

près où Chicot entrait dans la ville de Nérac ........................ 287

LVII Plumet rouge et plumet blanc ..................................... 306

LVIII La porte s’ouvre ........................................................... 317

LIX Comment aimait une grande dame en l’an de grâce

1586 ....................................................................................... 326

LX Comment Sainte-Maline entra dans la tourelle et de ce

qui s’ensuivit ......................................................................... 346

LXI Ce qui se passait dans la maison mystérieuse ............... 359

LXII Le laboratoire ............................................................... 371

LXIII Ce que faisait en Flandre monseigneur François de

Flandre, duc d’Anjou et de Brabant, comte de Flandre ...... 380

Bibliographie – Œuvres complètes ...................................... 392

À propos de cette édition électronique ................................. 417

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DEUXIÈME PARTIE

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XXXII

Messieurs les bourgeois de Paris

M. de Mayenne, dont on s’occupait tant au Louvre, et qui s’en doutait si peu, partit de l’hôtel de Guise par une porte de derrière, et tout botté, à cheval, comme s’il arrivait seulement de voyage, il se rendit au Louvre, avec trois gentilshommes.

M. d’Épernon, averti de sa venue, fit annoncer la visite au roi.

M. de Loignac, prévenu de son côté, avait fait donner un second avis aux quarante-cinq : quinze se tenaient donc, comme il était convenu, dans les antichambres ; quinze dans la cour et quatorze au logis.

Nous disons quatorze, parce qu’Ernauton ayant, comme on le sait, reçu une mission particulière, ne se trouvait point parmi ses compagnons.